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Journal de Kira Solice - 3 Juillet 2014 à 23h59
Ce matin au réveil le vent était revenu, il était certes moins violent  que celui du cyclone mais c'était quand même vachement impressionnant. Ce jour là je n'ai donc pas bougé de ma cachette et je crois que j'étais seule dans le village toute la journée. Incroyable. Vers 21h je me rendis compte que je n'avais plus de barres céréales... Sacrilège ! Mon ventre criait famine et je n'avais pas d'autre choix que de partir à la recherche de quelque chose à me mettre sous la dent. Je sortis de ma cachette et marchais sans vraiment savoir où aller. Plus j'avancais plus mon ventre me faisait mal, c'était juste horrible.J'arrivais vers la forêt, j'entendais l'eau du lac mais j'entendais aussi un autre bruit, ce n'était pas le bruit de l'eau, de la nature, c'était plutôt de la musique. Je décidais de m'approcher du bruit pour voir ce que c'était, ou, qui c'était. J'apercu alors Johan Casiraghi alias le chef de chantier musclé. Mais qu'est ce qu'il faisait là ? Je trouvais ça bizzare. Remarque peut-être pas si bizzare que ça, enfin, je veux dire, je le connais pas donc c'était peut-être ça sa vie. Je décidais de m'approcher un peu pour mieux l'apercevoir. Je m'approchais et je voyais une tente donc je ne mis pas beaucoup de temps à faire le rapprochement, il était SDF ! Il me vit et me dit d'approcher... Bizzare, je pense qu'en temps normal il m'aurait chassé ou je ne sais pas quoi…  Il me fit m'assoir sur par terre dans l'herbe près de lui et me demanda : "Alors, que me vaux cette charmante visite ?"
Un peu intimidé je repondis : "Et bien en fait... Je ne voulais pas aller au camp de refugiés avec les autres car ici où là-bas, d'après moi, la galère serait la même... Je réflechis pratiquement jamais avant d'agir...Et j'avais pris avec de barres céréales pour manger mais il ne m'en reste plus aucune et donc je recherche désespérement de quoi manger...Et puis je suis aussi resté dans HabboVillage pour voir l'avancée des travaux..."
Il répondit :  " J'ai de quoi manger pour toi et tu peux rester dormir avec moi dans cette tente jusqu'à la fin des travaux, c'est pas très cosy mais c'est déjà mieux que de dormir dans un vieil immeuble désafecté." Je lui étais très reconnaissante et j'exprima ma joie par un groooooooooos calin. Il me donna de quoi manger et je me suis posée près de la tente pour t'écrire. D'ailleurs j'en ai fini pour aujourd'hui et il faut que j'aille dormir dans la tente, à demain cher journal.